Ejaculation précoce

L’éjaculation consiste à expulser le sperme. La musculature périnéene et celle de l’urètre se contracte de manière saccadée, ce qui donne des jets de sperme. Les sensations physiologiques sont si agréables qu’un message de plaisir très violent parvient au cerveau. C’est alors que se produit l’orgasme. L’éjaculation précoce est le plus souvent sans orgasme. Elle intervient juste après la pénétration et entraîne la disparition de l’érection.

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L’éjaculation précoce, contrairement à l’impuissance, n’est jamais une pathologie. Une éjaculation intervenant après 17 secondes est NOR-MA-LE. En revanche, elle est problématique… Ce qui est certain c’est que cette manifestation est en lien, non avec la dimension procréative, mais avec la relation amoureuse. Différentes pistes sont donc à explorer lors d’une sexothérapie, pour résoudre ce qui est devenu un problème d’éjaculation. Par exemple, y a-t-il une volonté de « punir » le ou la partenaire en abrégeant à l’extrême le rapport sexuel ? Si oui, de quoi veut-on le ou la punir ? On peut également examiner le lien à l’anus. En effet, le message de plaisir provoquant l’orgasme est adressé suite à la contraction des muscles du périnée et des muscles releveurs de l’anus. Il y a également la possibilité qu’il y ait une érection d’une durée plus conventionnelle et d’une éjaculation tardive mais seulement en cas de masturbation. La masturbation étant par définition « anti-procréative » et auto-centrée, on peut chercher du côté de la crainte de la paternité et du rapport au ou à la partenaire.

Ces nombreuses options, tout ce champ exploratoire permettront au bout d’un moment d’isoler par exemple par une sexothérapie les raisons psychologiques en cause pour mieux résoudre le problème d’éjaculation qui en découle. Le travail avec un sexothérapeute qui sera alors fait dessus, notamment en ayant recours à l’hypnose Ericksonienne, pourra être accompagné dans certains cas d’une aide chimique, telle par exemple que celle fournie par la prise d’antidépresseurs comme la Dopaxetine. L’éjaculation à nouveau maîtrisée est le meilleur indicateur du retour à un équilibre psychique.

Pour toutes vos questions, rendez-vous sur la page contact ou bien prenez date pour une consultation à mon cabinet de sexothérapie à Versailles ou à celui de sexothérapie vers Fontainebleau.


Absence d’éjaculation (anéjaculation)

L’impossibilité d’éjaculer est un phénomène rare qui peut être causé par des troubles psychologiques ou physiologiques.

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Lorsque l’on est dans l’impossibilité d’avoir une éjaculation au terme d’un rapport sexuel, une des premières questions à se poser est de savoir si cette anéjaculation intervient dans toutes les positions, ou lors de la masturbation.

Il faut d’abord éliminer les causes physiologiques, liées par exemple à des problèmes prostatiques ou de prise de cocaïne. Pour cela, des examens médicaux sont un préalable indispensable en cas de problème d’éjaculation.

Ensuite, il faut rechercher du côté psychologique par une sexothérapie. La cause la plus fréquente des problèmes d’éjaculation est la crainte de la paternité ou celle d’une identification possible à son propre père. Il peut également être question d’une auto-punition car l’anéjaculation (absence d’éjaculation) prive en même temps de l’orgasme. Il ne faut pas oublier que la vision de l’homme de sa sexualité parle de sa vision de la vie. C’est en partenariat avec un sexothérapeute, pratiquant par exemple aussi l’hypnose Ericksonienne, que cette recherche pourra être faite de la manière la plus efficace et le problème d’éjaculation résolu.

Si vous souhaitez plus d’information, allez sur la page contact ou prenez rendez-vous à mon cabinet de sexothérapeute à Versailles ou à celui de sexothérapeute vers Fontainebleau.