Verge tordue

La verge, lorsqu’elle a une érection, se gonfle de sang. Ce phénomène a la particularité de la durcir, de l’allonger plus ou moins et de la redresser. Mais alors qu’à l’état de repos elle a une forme oblongue, il peut arriver qu’une fois durcie elle présente un coude.

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Lorsque la verge n’est pas droite mais présente un angle alors qu’elle est en érection, il s’agit en réalité d’une sclérose des corps caverneux qui constituent deux cavités à l’intérieur du pénis. Ils sont de forme cylindrique, situés côte à côte au-dessus du corps spongieux, et ce sont eux qui se gorgent de sang au moment de l’érection. Leur sclérose, connue sous le nom de maladie de la Peyronie, n’a le plus souvent aucune incidence physiologique. Ni l’activité sexuelle, ni la pénétration sexuelle n’en sont en général affectées. En réalité, la seule conséquence systématique est de nature esthétique.

S’il est évidemment toujours plus prudent de consulter un urologue en cas de déviation de la verge pour un examen médical complet, en revanche il n’existe pas de traitement médical pour y remédier. Le seul moyen existant à l’heure actuelle consiste en une intervention de chirurgie esthétique. Toutefois, les résultats obtenus jusqu’à présent ne sont guère encourageants. Reste alors, si cette particularité physique est vraiment vécue comme une gêne, la sexothérapie. Un travail approfondi avec le sexothérapeute sur l’importance accordée à ce « détail » de la verge doit permettre à terme de mieux l’accepter et surtout de l’empêcher de continuer à perturber la vie sexuelle de son propriétaire.

Pour d’autres précisions, vous pouvez vous rendre sur la page contact ou consulter à mon cabinet de sexothérapeute à Versailles ou à celui de sexothérapie vers Fontainebleau.


Taille du pénis

On sait tous que l’important, ce n’est pas la taille du pénis. « Une petite travailleuse vaut mieux qu’une grosse paresseuse ». N’empêche. Tous les petits garçons comparent la taille de leur pénis. Et plus leur sexe est gros, plus ils en tirent de satisfaction. Satisfaction morale bien sûr, pas physique. Et pour cause…

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Le sexe masculin, quand il est en érection, se modifie visuellement : il devient dur et se redresse. Il s’allonge et se gonfle également, mais pas forcément de manière importante. C’est pourquoi la taille d’un pénis au repos ne peut permettre que des spéculations sur la taille qu’il atteindra en érection. Par exemple, un pénis important au repos peut à peine grandir lors de l’érection. Alors qu’un pénis plutôt petit peut très bien prendre des proportions imposantes en érection.

La taille du sexe, que ce soit celui de l’homme ou de la femme, n’est jamais la même d’une personne à l’autre. Aussi individualisée que la longueur des cheveux ou la couleur des yeux, elle n’a, sauf cas extrêmes, aucune conséquence sur les fonctions du sexe. Tout comme la pointure du pied ne permet pas de courir plus ou moins vite. C’est au point que « petit sexe » ou « gros sexe » ne veulent rien dire en soi. « Petit sexe » ou « gros sexe » par rapport à quoi?

Cependant, si elle est sans conséquence sur l’activité et les performances sexuelles et de procréation, la taille du pénis (longueur OU circonférence) a souvent une importance non négligeable sur le plan psychologique. C’est pourquoi il est impératif, lorsque l’appréciation que l’on a de cette taille se transforme en complexe, de faire un travail de sexothérapie pour déterminer pourquoi cela est si important. Au terme de cette recherche menée avec le sexothérapeute, l’importance accordée à cet état de fait sera considérablement réduite, voire même aura disparu. En tous cas, elle n’aura plus qu’une incidence négligeable sur l’activité sexuelle et l’individu (re-)trouvera une vie sexuelle épanouie.

Si vous souhaitez poser des questions, vous pouvez utiliser la page contact ou demander une consultation à mon cabinet de sexothérapie à Versailles ou à celui de sexothérapeute vers Fontainebleau.